La rencontre avait pour objectif d’informer le chef du gouvernement des actions entreprises par le GPM en faveur du renforcement des liens d’amitié entre le Mali et la Russie.
Le président du GPM, Lamine Koné, est revenu sur la signature de la pétition en faveur du renforcement de la coopération entre le Mali et la Fédération de Russie. La pétition qui a été signée par plus de 8 millions de Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur, témoigne de l’intérêt du propos.
Dr Choguel Kokalla Maïga a salué les efforts du GPM en faveur de la consolidation des relations entre notre pays et la Russie. Il est également revenu sur quelques séquences de l’histoire de la coopération entre les deux pays. Une façon pour lui d’affirmer son soutien aux actions entreprises par le GPM.
« Vous, vous ne soutenez pas la Transition. La Transition c’est vous », a déclaré le chef du gouvernement, avant d’inviter ses hôtes à continuer leur combat et à mettre les intérêts du Mali avant tout le reste. Le Premier ministre a lancé un appel à tous les Maliens afin qu’ils se rendent aux urnes le 18 juin prochain et parachèvent le processus de la Refondation.
Rappelons que le GPM a vu le jour en 2016 à Ségou, à la suite de l’éclatement de la crise sécuritaire que connaît notre pays. Depuis, des réalisations ont été faites notamment l’octroi de bourses d’études en Russie ainsi que la construction de la Maison de la Russie au Mali.
Souleymane SIDIBE
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.