
Selon une note du département en charge de l’Économie publiée sur sa page Facebook ce dimanche, lors des discussions, Alousséni Sanou a indiqué que ce retrait de la Cedeao est une question de survie pour les États de l’AES. Il a rappelé les dysfonctionnements organisationnels et les manquements graves au respect des textes et de l’esprit de l’organisation qui risquent de causer sa perte.
Il a rassuré de la disponibilité des autorités a recherché l’établissement de bons rapports de voisinage avec les États de la sous-région. Le ministre chargé de l’Économie a fait savoir que la libre circulation des biens et des personnes au sein de l’Uemoa reste d’actualité, y compris les pays de l’AES avec lesquels le Mali assure l’essentiel de ses importations. Pour lui, ce retrait constitue une opportunité pour développer une stratégie endogène de croissance de notre économie en lien avec les pays de l’AES.
Le ministre Sanou a évoqué les nouvelles opportunités offertes, en ce qui concernent notamment les facteurs de production : population, ressources naturelles (eau, soleil, terre, faune, flores) et les ressources minérales permettant de se concentrer sur des politiques économiques endogènes. Cela pour dire que la vision commune de créer des capacités communes en matière d’énergie, de transports, de développement rural, de technologie de l’information et de la communication et de finance favorise la réalisation de progrès rapides en matière de prospérité socio-économique.
Pour le ministre chargé de l’Économie, les retombées des différentes réformes notamment dans les domaines miniers assureront les ressources de financement pour tous les secteurs vitaux au-delà des avancées certaines en matière de coopération bilatérales et multilatérales. Tout en insistant sur la nécessité de sensibiliser les opérateurs économiques et la mise en place d’un cadre de concertation. Il les a rassurées de l’accompagnement de l’État.
Après avoir exprimé leurs préoccupations dont le ministre Sanou a pris note, les dirigeants des Banques et des établissements financiers ont salué cette initiative et se disent mobiliser pour accompagner cette décision. Ils se sont engagées à tout mettre en œuvre pour accompagner les efforts de l’État afin de relever les éventuels nouveaux défis.
Souleymane SIDIBE
L’opération se déroulera en trois phases. Elle commencera le 1er octobre et prendra fin le 31 décembre prochain.
Cette édition prévoit de raviver la mémoire collective en valorisant les croyances communes et les pratiques culturelles comme des vecteurs d’unité. Il s’agit aussi de mobiliser les femmes et la jeunesse autour de la transmission des valeurs ancestrales de paix.
La capitale malienne abrite, à partir de ce lundi 15 septembre, la 4è édition de la Semaine nationale de la réconciliation (SENARE). La cérémonie de lancement se tiendra au Centre international de conférences de Bamako (CICB) autour du thème : « Héritage culturel : facteur de paix et de co.
Suite à la destruction d'un aéronef de reconnaissance des Forces armées maliennes, le gouvernement de la Transition a déposé ce jeudi 4 septembre, une plainte contre la République démocratique et populaire algérienne devant la Cour internationale de Justice. L'annonce a été par le gouverne.
Il en résulte une tendance de réalisation de 387 recommandations sur 517, soit 74,85%. Le document déplore certaines lenteurs notamment dans la mise en œuvre des projets industriels, de reboisement et de barrage.
La Cour constitutionnelle a déclaré, lundi dernier, à travers un arrêt la loi n°2024-38/CNT-RM du 5 décembre 2024 portant loi organique fixant le nombre des membres du gouvernement conforme à la Constitution. Cette décision fait suite à une requête du Président de la Transition à l’ins.