Cette activé vise la promotion d’une meilleure information sur les phénomènes migratoires
Dans le
cadre du respect de la dignité humaine et de la promotion d’une meilleure
information sur les phénomènes migratoires, la Maison de la presse et l’OIM ont
initié cette activé qui a regroupé une vingtaine de journalistes. Ces derniers
ont appris beaucoup de connaissances dans le domaine du reportage sur la
migration.
à
l’ouverture des travaux, le chef de cabinet du ministre de la Communication, de
l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration a rappelé que
le Mali est un carrefour migratoire stratégique : un pays de départ, de
transit et de destination.
Toutefois,
a fait observer Mohamed Ag Albachar, malgré cette réalité, la couverture
médiatique des questions migratoires reste insuffisante et souvent limitée aux
aspects les plus dramatiques de la migration irrégulière. «Nous devons aller
au-delà de cette vision réductrice et mettre en lumière les aspects positifs de
la migration, les opportunités qu’elle peut offrir, et le cadre de gouvernance
mis en place par le gouvernement et ses partenaires pour la gérer de manière
humaine et ordonnée», a-t-il proposé. Avant d’indiquer que la couverture
médiatique joue un rôle essentiel dans la formation de l’opinion publique et
dans la sensibilisation aux réalités complexes des migrations.
Pour le
représentant de l’OIM, la migration est un phénomène qui a façonné l’histoire
de l’humanité depuis ses origines, ajoutant qu’aujourd’hui plus que jamais,
elle occupe une place centrale dans le débat public et
médiatique. «Cependant, la manière dont elle est couverte par les médias
peut influencer la perception du public et les politiques migratoires. Et le
Mali n’est pas en reste», a affirmé Jorge Dominguez.
Par
ailleurs, le représentant du Comité national de coordination de la lutte contre
la traite des personnes et des pratiques assimilées notera que le Mali, à
l’instar d’autres pays en Afrique et dans le monde, souffre des phénomènes de
la traite des personnes et du trafic illicite de migrants qui, loin d’être
annihilés, prennent de plus en plus d’ampleur. «Depuis le début de la décennie
2010, plusieurs initiatives sont développées par les autorités maliennes afin
d’endiguer la traite des personnes sous toutes les formes en République du
Mali», a salué Moctar Kouyaté.
Notre pays
s’est doté en septembre 2014 d’une Politique nationale de migration (Ponam) et
figure au rang des «pays champions» de la mise en œuvre du Pacte mondial pour
les migrations sûres, ordonnées et régulières, premier accord sur les
migrations internationales signés par 193 États.
Boubacar BAGAYOKO
Rédaction Lessor
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