C’était en présence des présidents des comités de gestion scolaire (CGS), les présidents des associations de parents
d’élèves (APE), les représentants des syndicats d’enseignants et des membres de
la société civile et les Forces de défense et de sécurité.
Il s’agissait au
cours de cette rencontre de faire l’état des lieux et d’assurer les conditions
d’une bonne organisation de cet examen de fin d’études, notamment la
sécurisation des données confidentielles, le rôle et les responsabilités des
collectivités. Il faut aussi anticiper sur les éventuelles difficultés pour ne
pas entraver le bon déroulement de l’examen, éviter la fuite des sujets des
épreuves de l’examen, mais aussi lutter contre les fraudes en période d’examen
et sécuriser les centres d’examen.
Retenons que le
directeur du Centre d’animation pédagogique (Cap), Malick Djibo, après avoir
expliqué les dispositions pratiques déjà prises par son département a rassuré
les participants de l’état des préparatifs et demandé l’accompagnement de tous
pour la parfaite réussite de l’examen.
Signalons que le Cercle de Macina compte deux Cap, notamment celui de Macina qui compte 1.533 candidats pour 9 centres d’examen et le Cap de Sarro qui enregistre 727 candidats pour 7 centres d’examen. Ce qui fait un total de 2.260 candidats inscrits.
Et le préfet de cercle d’inviter tous les partenaires de l’école à s’impliquer à hauteur de souhait dans les préparatifs de cet examen prévu pour les 3, 4 et 5 juin prochains.
Amidou O. KONE / AMAP - Macina
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.