Notre pays entreprendra bientôt des actions fortes pour réhabiliter la «Ville
ancienne de Djenné», annonce le Communiqué du Conseil des ministres du mercredi
dernier. Ce bien qui a été inscrit sur la liste du patrimoine de l’UNESCO en
1988 est très affecté par la crise sécuritaire. Il a été déclaré en péril en
2016. Le ministère de l’Artisanat, de la Culture, de l’Industrie hôtelière et
du Tourisme entamera bientôt des actions en vue de sa réhabilitation.
Alors que l'Afrique est sous-représentée sur la Liste du patrimoine
mondial (les biens africains représentent environ 12% de tous les sites
inscrits dans le monde), un pourcentage disproportionné (39%) de ces biens
figurent sur la Liste du patrimoine mondial en péril. Confrontées à diverses menaces
contemporaines, telles que le changement climatique, le développement
incontrôlé, le braconnage, les troubles civils et l'instabilité, de nombreuses
merveilles de l'Afrique risquent de perdre leur valeur universelle
exceptionnelle. Il est donc plus urgent que jamais que ce patrimoine
irremplaçable soit protégé et préservé pour le bonheur des générations futures.
L'UNESCO est déterminée à mener les efforts sur le plan international
afin de tirer parti du vaste potentiel du patrimoine culturel et naturel de
l'Afrique en tant que force pour la réduction de la pauvreté et la cohésion
sociale, et moteur du développement durable et de l'innovation. Grâce à cette
journée internationale, l'UNESCO vise à accroître la sensibilisation mondiale
au patrimoine africain, en mettant l'accent sur les jeunes, et à mobiliser une
coopération renforcée pour sa sauvegarde aux niveaux local, régional et
mondial.
En instituant cette journée internationale, l'Unesco vise à accroître
la sensibilisation mondiale au patrimoine africain, en mettant l'accent sur les
jeunes générations, et en mobilisant une coopération renforcée pour sa
sauvegarde aux niveaux local, régional et mondial.
Source : unesco.com
Rédaction Lessor
Elle vise à replacer le Mali dans la situation de «pays carrefour», d’en faire un passage obligé, bref un «Sira ba dala kôlon : Ni y taa tô mi minh i naa tô bi i min». Cela est possible en exploitant la centralité de notre pays en Afrique de l’Ouest pour développer les infrastructures.
La 57è session de la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD) s’est déroulée du 29 avril au 3 mai, à New York, aux États-Unis. La délégation malienne qui y a participé était conduite par le ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat, des Domaines, de l’Am.
Alors que la sécheresse menace de plus en plus de régions du monde, des solutions innovantes émergent pour combiner la gestion de l’eau et la production d’énergie renouvelable. L’Inde a été l’un des premiers pays à explorer le concept consistant à recouvrir ses canaux d’irrigation .
Les jeunes affichent un grand intérêt pour le Dialogue inter-Maliens dont la phase finale a débuté hier au CICB. Pour leur participation à cette rencontre, le ministre des Sports et de la Jeunesse, chargé de la Construction citoyenne et de l’Instruction civique, Abdoul Kassim Ibrahim Fomba, .
«Aujourd’hui plus que jamais, notre peuple, dont je salue encore et toujours la résilience, a besoin de plus d’unité et de solidarité» Il y a quelques semaines, nous procédions à l’installation du Comité de pilotage du Dialogue inter-Maliens pour la paix et la réconciliation nationale.
La capitale gambienne a abrité, les 4 et 5 mai 2024, la 15ème Conférence islamique au Sommet de l’Organisation de la coopération islamique (OCI). Sous la présidence en exercice, Adama Barrow, président de la République de Gambie, le Sommet de l’OCI avait pour thème «Renforcer l’unité.