
La liste des instituts de formation dans notre
pays s’agrandit avec le nouvel Institut de formation spécialisé en
anglais : «Institut privé de langues appliquées performance
(IPLAP)». L’inauguration de l’établissement s’est déroulée à son siège à
Kabala. La cérémonie a enregistré la participation de l’ancien recteur
d’université et directeur général de l’établissement, Pr Macki Samaké, de
l’ancienne ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
scientifique, Mme Siby Ginette
Bellegarde, des responsables des universités et grandes écoles et de
nombreux enseignants.
Pr Macki Samaké a expliqué les motivations qui
ont sous-tendu la création de ce nouvel institut qui, selon lui, permettra de
combler un vide au niveau de la performance de la langue anglaise. Celle-ci
demeure aujourd’hui un outil de travail pour tout cadre.
«Après quarante ans
d’expérience dans l’enseignement et l’administration scolaire, nous avons décidé
de poursuivre notre vocation pour soutenir les jeunes, en créant un cadre spécifique
pour apprendre l’anglais», a dit l’ancien recteur. Aujourd’hui, l’anglais
est un élément impératif sur le marché
de travail après une formation qualifiante. Notre motivation est de donner accès
à une formation en anglais en vue de rendre compétitif sur le marché de
l’emploi, nos produits formés. Et de rappeler que la globalisation exige d’être
bilingue d’où, la mise en place de cette école.
La particularité de l’institut privé de
langues appliquées est le mode d’apprentissage qui se caractérise par 3 éléments
principaux à savoir : un groupe
restreint de 12 personnes au maximum, la mise en avant de l’anglais et l’accent
à la pratique.
IPLAP a deux filières de formation pour cette
première année; à savoir la langue appliquée aux métiers de l’entrepreneuriat
et la langue littérature anglaise. Ces deux filières permettent aux apprenants
de se spécialiser en marketing communication ou droit et commerce
international. Enfin, le responsable de l’établissement a exprimé sa
satisfaction de poursuivre sa vocation d’enseignant après quarante ans d’expérience
dans l’enseignement et l’administration
scolaire. Il a tenu à saluer ses partenaires et collègues qui ont soutenu le
projet.
Mme Siby Ginette Bellegarde a expliqué que la réduction
des frais peut aller jusqu’à 50% en fonction de la mention de l’étudiant.
«Nous avons décidé de créer cet institut
pour combler un vide qui s’installait dans la pensée des jeunes,
l’apprentissage de l’anglais», a révélé
l’ancienne ministre en charge de l’Enseignement supérieur.
La création
de cet Institut est le fuit d’une collaboration entre anciens responsables de
l’enseignement. Pour elle, l’expertise des promoteurs aux compétences avérées
permettra d’offrir une formation de qualité aux jeunes. L’idée n’est pas de
concurrencer les universités, mais de les accompagner en vue de permettre aux
jeunes de répondre aux défis de la
mondialisation comme celui de l’apprentissage de l’anglais aujourd’hui dans le
show-biz.
Les promoteurs ont annoncé que l’institut mettra aussi en place des cours du soir et d’autres modules de formation pour l’apprentissage et la pratique de l’anglais.
Amadou SOW
Depuis le lancement du projet Culture Mali 2025, le ministère de l’Artisanat, de la Culture, de l’Industrie hôtelière et du Tourisme multiplie les activités à Bamako et à l’intérieur du pays pour donner un contenu à la vision du Président de la Transition qui a décrété 2025 comme A.
Le Projet Mali culture 2025 s’attache aussi à la relance d’un dialogue entre les aînés et la jeune génération d’où l’initiation d’une conférence mensuelle dénommée : «Faso baro kéné» dont la conférence inaugurale s’est tenue, mardi dernier à Koulikoro, sous le thème : «.
C’est aujourd’hui que s’ouvre à Koulikoro le premier numéro de la conférence «Faso baro kéné» sous le thème «Maaya ni Dambe pour une culture de Mali kura». Engagées pour la revalorisation de nos valeurs et la refondation de Mali den Kura, les autorités entendent mettre en place un.
À l’occasion de la Journée internationale des femmes et de la symbolique de la proclamation de 2025 comme année de la culture, nous avons rencontré une enseignante initiée au korèdugu à Koutiala. Dans les lignes qui suivent Wassa Dao livre son analyse sur sa société secrète.
On imagine mal un Président ghanéen visiter le Mali sans se rendre au Monument Kwame N’Krumah, l’illustre père de l’indépendance du Ghana, dont les convictions panafricanistes ont été saluées partout en Afrique..
Mme Camara Massitan Dougounè a une histoire et celle-ci mérite d’être contée. Cette femme a la particularité d’être infirmière obstétricienne et cantatrice à la fois. Elle arrive à concilier, admirablement pour le bonheur de ses patientes, et auditeurs ses fonctions professionnelles, e.