Préfets, maires et forces vives de la région prennent part à la rencontre
Présidé par la cheffe de l’exécutif régional, l’évènement a enregistré la présence de son directeur de cabinet, Bernard Coulibaly, le préfet du Cercle de Sikasso, Amadou Gassambé et le maire de la Commune urbaine de Sikasso, Kalfa Sanogo. Y ont également pris part, les préfets des Cercles de Sikasso, les maires des communes rurales ainsi que les forces vives de la région.
«Compte tenu des fausses informations qui circulent sur les réseaux sociaux, en tant que représentant de l’État, on doit réunir les forces-vives de la région pour leur donner la bonne information sur la crise de carburant», a introduit la gouverneure. Se prononçant sur les mesures adoptées par le gouvernement en la matière, Kanté Marie Claire Dembélé a évoqué, entre autres, la création d’un comité interministériel pour la gestion de la crise des hydrocarbures, la redynamisation de ce comité au niveau des régions, le ravitaillement normal des stations et la sécurisation des convois de citernes.
Selon elle, même si Sikasso est moins touchée par cette situation, sans la sécurisation des FAMa, les propriétaires des citernes et les chauffeurs, il sera difficile de mettre fin à la crise. Par ailleurs, la cheffe de l’exécutif régional a indiqué que cette crise de carburant doit créer la solidarité et l’entraide entre les Maliens. Mme Kanté Marie Claire Dembélé a invité les uns et les autres à bien revoir l’hymne national, qui selon elle, est très instructif surtout en cette période que vit notre pays. Elle a salué les efforts déployés non seulement par le gouvernement mais aussi par les pétroliers du Mali dans la gestion de cette crise.
Elle a également saisi l’occasion pour inviter les participants à être des relais pour informer à leur tour ceux qui n’ont pas eu la chance de participer à la rencontre. «Ceci est une question de survie pour la nation, on doit tous protéger ce pays et poser des actes qui participent à sa sécurisation. Chacun doit être un partisan de paix pour que la paix tant souhaitée se réalise au Mali», a-t-elle conclu.
Les porte-paroles des légitimités traditionnelles, des femmes, des jeunes et des confessions religieuses notamment le Haut conseil islamique, les églises catholique et évangélique, se sont succédé au pupitre. Chacun d’entre eux a insisté sur la résilience des Maliens, l’union, la solidarité, le retour à nos anciennes valeurs, la bonne éducation de nos enfants… Ils ont tous réitéré leur engagement à soutenir le gouvernement dans la démarche.L’exécution de l’hymne national du Mali a été le temps fort de la rencontre.
Mariam DIABATE / AMAP - Sikasso
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