Le rapport issu cette réunion indique que depuis le début de l’hivernage, le Mali a enregistré 42 cas d’inondations, 9 cas de foudre et 4 scènes de vent violent dont une seule survenue sur la période du 10 au 15 septembre derniers.
Ces intempéries ont fait 23 morts et 34 blessés. Elles ont également endommagé 1.204 maisons, touchant 2.621 ménages soit 20.296 personnes sinistrées.
Pour amoindrir les conséquences de ces désastres, de nombreuses actions sont entreprises par les autorités.
Parmi lesquelles figurent les travaux de démolition des occupations illicites situées dans l'emprise du collecteur de Kalaban coura; la mobilisation des brigadiers citoyens et des volontaires dans le cadre du projet « les mois citoyens». Sans oublier la diffusion des messages de sensibilisation sur les radios, à la télévision, dans la presse et via l'application digitale SOS Sécurité.
Ainsi, les interventions du gouvernement ont également porté sur des opérations de sauvetage, d'évacuation et de mise en sécurité des ménages sinistrés.
A ces gestes se greffent d'autres actions humanitaires notamment l'assistance en vivres et en non vivres. Il s'agit de la distribution de 32,28 tonnes de céréales, 772 kg de sucre, 160 litres d'huile, 24 cartons de pate alimentaire. S'y ajoutent la mise à disposition aux sinistrés de 145 kits de dignité, 287 unités de moustiquaires, 61 cartons de savon, 287 nattes, 287 unités de couverture et 100 bâches.
La saison des pluies 2025 suit son évolution normale sur l'ensemble du pays avec une concentration des activités orageuses dans le Centre, le Nord du pays mais aussi dans la bande sahélienne, souligne le texte.
En termes de perspectives, des quantités importantes de pluies sont attendues par endroits et les risques d'inondations restent élevés durant la dernière décade du mois de septembre, annonce le communiqué. La situation hydrologique observée au cours de la deuxième décade du mois de septembre se caractérise par une poursuite générale de la montée des niveaux d'eau sur l'ensemble des cours d'eau du Mali.
«A la date du 18 septembre 2025, il n'existe pas de risques majeurs liés aux débordements des cours d'eau», souligne le rapport.Toutefois, le CECOGEC invite les populations à la vigilance et au strict respect des consignes données pour diminuer les risques liés aux inondations et autres catastrophes naturelles.
Aboubacar TRAORE
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