Le gouverneur de la Région de Kayes, le Général de brigade Moussa Soumaré
La situation sécuritaire est très fragile dans la Région de Kayes, en dépit des efforts fournis par les autorités régionales et les Forces de défense et de sécurité pour neutraliser les terroristes et autres bandits armés lors des opérations, des patrouilles et autres missions. La nécessité s’est donc imposée au gouverneur de la Région de Kayes, le Général de brigade Moussa Soumaré, de reconduire le couvre-feu pour une période de 30 jours. Cette interdiction temporaire de circuler à certaines heures dans la région avait été instaurée après les attaques terroristes survenues le 1er juillet dernier dans certaines villes et villages de la 1ère région administrative du Mali, notamment dans la capitale régionale.
La mesure avait ensuite été reconduite pour 30 jours à compter du 1er août dernier. Le gouverneur a encore remis ça pour un autre délai de 30 jours à compter du 31 août. La mesure est très bien appréciée dans la cité des Rails, parce qu’elle permet d’apporter une certaine sécurité et une accalmie qui permettent aux populations de vaquer à leurs préoccupations quotidiennes.
Mais, des inquiétudes persistent dans certains cercles comme Aourou et Yélimané où des fonctionnaires expriment la peur de résider dans ces localités. En outre, la prudence est de mise pour ceux qui vont en mission dans ces zones, sans oublier certaines parties des Cercles d’Oussoubidiagna et de Bafoulabé.
Durant ce mois, le couvre-feu reste allégé parce qu’il s’applique de minuit à 5 heures du matin. En juillet dernier, c’était de 21 h à 6 heures du matin. Pendant cette période, la liberté de circulation des personnes et de tous les engins de transport était restreinte. Une précision de taille, la mesure d’interdiction ne concerne pas les engins des Forces de défense et de sécurité et autres ambulances munies d’un ordre de mission.
Selon la cellule de communication du gouvernorat de Kayes, le Général de brigade Moussa Soumaré a salué, une fois de plus, la détermination des Forces armées maliennes (FAMa) et la résilience des populations de la région. Cependant, certains habitants des Logements sociaux de Kayes et environnants ont des récriminations contre les coupures d’électricité de 00h à 6h du matin pendant le couvre-feu.
Ces habitants craignent des actes de brigandage et des attaques à main armée parce qu’ils estiment que ces conditions sont favorables pour commettre des délits et autres crimes. Depuis le 30 août à 6 heures, certaines concessions des logements ATT Bougou et alentours sont privées d’électricité. On invoque un problème de disjoncteur.
Bandé Moussa SISSOKO / AMAP - Kayes
Les enseignants des écoles publiques du District de Bamako reprennent le travail dès ce lundi 20 octobre 2025 aux heures habituelles des cours..
En marge de la 3è édition des journées Ouest-africaines de l'audit interne, tenues à Bamako les 16 et 17 octobre, le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta a reçu, ce vendredi 17 octobre, une délégation de l’Association des contrôleurs, inspecteurs et auditeurs .
Certains rapports occidentaux tentent désespérément de faire croire que le Mali serait une « république en ruine », une «transition sans cap», un pays «sous tutelle russe» condamné à l’isolement. Ce récit, souvent répété, ignore la logique interne d’un processus souverain qui.
Lancé depuis le mois de septembre, par la Direction nationale de la pédagogie (DNP) avec l’appui technique et financier du Projet d’amélioration de la qualité et des résultats de l’éducation pour tous au Mali (Miqra), l’atelier d’élaboration et de validation des livrets pédagogique.
Dans le cadre des activités de la 30è édition du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, le gouverneur de la Région de Mopti, le Général de brigade Daouda Dembélé a respecté la tradition en rendant visite, mercredi 15 octobre, aux deux personnes les plus âgées de la Co.
Suite à la recrudescence de l’insécurité dans la Région de Gao, des mesures strictes ont été prises concernant les activités illicites sur le site minier de N’tahaka, situé à une cinquantaine de kilomètres de la Commune urbaine de Gao..
