Mamou Daffé, ministre chargé de la Culture : «Amadou Bagayoko a marqué la scène musicale malienne et internationale»

Hier, le ministre de l’Artisanat, de la Culture, de l’Industrie Hôtelière et du Tourisme, Mamou Daffé, a rendu visite à la famille Bagayoko, notamment à la veuve Mariam Doumbia et aux enfants de l’illustre disparu.

Publié lundi 07 avril 2025 à 07:38
Mamou Daffé, ministre chargé de la Culture : «Amadou Bagayoko a marqué la scène musicale malienne et internationale»

À travers ce geste, le chef du département de la Culture était venu apporter son soutien à la famille du défunt et présenter les condoléances du peuple malien, au nom du Président de la Transition,  le Général d’armée Assimi Goïta et du Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga.


Dès l’annonce du décès du célèbre artiste musicien, vendredi dernier, le ministre chargé de la Culture avait posté ce message sur les Réseaux sociaux : «J’ai appris avec consternation la disparition subite de l’artiste Amadou Bagayogo ce vendredi 4 avril 2025. Membre du célèbre “couple aveugle du Mali” et formant un duo avec son épouse Mariam Doumbia, Amadou Bagayogo est un non-voyant qui a marqué la scène musicale malienne et internationale, remportant divers Trophées.

Son décès s’annonce ainsi au moment où le Mali célèbre 2025 comme l’Année de la Culture. En cette douloureuse circonstance, je présente, au nom de son Excellence, Président de la Transition et Chef de l’État, le Général d’armée Assimi Goïta et du Premier ministre,  Chef du gouvernement, le Général de division Abdoulaye Maïga, les condoléances émues du peuple malien à sa famille durement éprouvée et au monde de la culture».

Tamba CAMARA

Lire aussi : Festival Rendez-vous chez nous : De beaux spectacles dans la rue

Si au départ le «Festival Rendez-vous chez nous» était concentré sur les masques et marionnettes, force est de constater que l’événement s’est beaucoup développé. De nos jours, il est devenu plus éclectique avec une programmation riche et variée, allant de la musique à la danse moder.

Lire aussi : Fatoumata Dembélé : «La photographie m’a choisie»

Lauréate du concours national de la photographie, elle œuvre depuis plusieurs années pour inoculer le virus de son métier aux femmes.

Lire aussi : Année de la culture 2025 : Plaidoyer pour une politique nationale du livre et de la lecture

Dans le cadre de la célébration de l’Année de la culture 2025, la Bibliothèque nationale du Mali a abrité, hier, une conférence du parrain du mois d’octobre, couplée à une cérémonie de remise d’attestations aux familles donatrices de livres. L’ancien ministre chargé de la Culture .

Lire aussi : Financement de la culture : Des initiatives innovantes à envisager

En marge de la 9è édition du Festival international «Triangle de Balafon», le Consortium ACF–Fonds Maaya et le Réseau Kya, ont organisé, samedi dernier dans la salle de réunion de la Chambre de commerce et d’industrie de Sikasso, une table ronde sur la problématique de financement du se.

Lire aussi : Tombouctou : la mosquée de Djingarey ber fait peau neuve

Cette année, le crépissage de la mosquée de Djingarey ber coïncide avec le 700è anniversaire de son érection par l’empereur Kankou Moussa de retour du pèlerinage à la Mecque au XIVè siècle. Il coïncide aussi d’avec l’Année de la culture décrétée par le Président de la Transitio.

Lire aussi : Sikasso : Le ministre Daffé préside les journées nationales du patrimoine culturel

L’événement a été marqué par une conférence qui a débattu de la thématique : «Place et rôle du Maaya et du Danbé dans la formation et l’éducation du Maliden kura».

Les articles de l'auteur

Lafiabougou : Faux samaritain, vrai voleur

«L’apparence est trompeuse», dit une maxime connue de tous. Autrement dit, on ne doit jamais se laisser convaincre par ce qu’on aperçoit à l’extérieur d’un individu. Et pour cause, il est possible que la personne garde des tonnes de mauvaises choses à l’intérieur d’elle même..

Par Tamba CAMARA


Publié mardi 11 novembre 2025 à 09:12

Djicoroni-Para : Il cherchait plutôt à voler une moto que du carburant

Les policiers les plus avertis vous diront que « l’occasion fait le larron ». Eux (les limiers) qui ont pour mission de protéger les personnes et leurs biens dans la cité savent de quoi ils parlent. Pour la simple raison que chaque jour que Dieu fait, les malfrats prouvent l’évidence de cette maxime à travers la ville de Bamako et ses environs..

Par Tamba CAMARA


Publié lundi 10 novembre 2025 à 12:45

Kayes : La police interpelle des vendeurs de charogne

Les éléments du commissariat de la Régie chemins de fer de Kayes avec à leur tête le commissaire principal Mohamed B. Koumaré, ont récemment mis hors d’état de nuire quatre individus qui s’apprêtaient à mettre sur le marché de la viande de bœuf impropre à la consommation..

Par Tamba CAMARA


Publié mardi 21 octobre 2025 à 08:05

Bamako : La punition de la discorde

«Il faut tout un village pour éduquer un enfant », dit une maxime bien connue chez nous. D’où toute l’importance de l’implication de toute la communauté dans l’éducation de l’enfant. à commencer par sa famille, le voisinage, le quartier, voire tout le village..

Par Tamba CAMARA


Publié mercredi 15 octobre 2025 à 09:48

Sadiola : Une simple dispute tourne au drame

A seulement 25 ans, celui que nous désignerons par ses initiales S.D risque de passer plusieurs années derrière les barreaux, s’il est reconnu coupable du crime d’assassinat dont il est fortement suspecté..

Par Tamba CAMARA


Publié vendredi 10 octobre 2025 à 12:07

«Le sommet de la bravoure de Drahamane Diarra» : Une œuvre inspirante

Le livre du Colonel-major à la retraite Drahamane Diarra est intitulé : «Le sommet de la bravoure». L’ouvrage édité et publié en août dernier par la maison d’édition «ÉDIS» a été présenté au grand public, hier à l’amphithéâtre Thierno Bocar de la Bibliothèque nationale..

Par Tamba CAMARA


Publié vendredi 10 octobre 2025 à 12:04

Sabalibougou : Trois braqueurs et leurs complices mis hors d’état de nuire

Le commissariat de police de Sabalibougou a tout récemment mis le grappin sur une bande de malfrats spécialistes du vol et braquage à main armée. Au nombre de sept individus, ces malfrats qui ne juraient que par les engins à deux roues ont longtemps troublé la quiétude des populations de certains secteurs de Sabalibougou, les motocyclistes en particulier..

Par Tamba CAMARA


Publié jeudi 09 octobre 2025 à 07:50

L’espace des contributions est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour accéder à cet espace d’échange et contribuer à la discussion.
S’abonner