
Échanges entre le chef du gouvernement et les membres de la Commission
Le Premier ministre Choguel Kokalla Maïga s’est entretenu ce lundi 8 janvier 2024, avec la Commission d’organisation des états généraux de l’éducation. C’était lors d’une audience, en présence du ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, le colonel Abdoulaye Maïga, du ministre de l’Éducation nationale, Amadou Sy Savané, du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Bouréma Kansaye et du ministre de l’Entrepreneuriat national, de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Mme Bagayoko Aminata Traoré.
Par ces échanges, la délégation était venue
rendre compte au Premier ministre du processus de préparation et de prendre
conseil afin de mieux éclairer la démarche à l’entame de ce projet de réforme
dans le secteur de l’éducation. Selon le président de la Commission, Koulougna
Edmond Dembélé, ces états généraux, prévus du 16 au 19 janvier 2024, résultent
d’une volonté de la population, précisément celle des acteurs de l’éducation,
consolidée par les Assises nationales de la refondation (ANR).
L’objectif de la commission est d’élaborer une
feuille de route, accompagnée de son plan d’actions sur le court, moyen et long
termes et assortie d’un budget. Ces états généraux de l’éducation
s’articuleront autour de 18 thématiques et ont été précédés de concertations au
niveau régional, dans les missions diplomatiques avant de s’achever par l’étape
nationale. Dans la même optique, il est prévu l’approfondissement de la réflexion
sur des thématiques de la fonction enseignante (formation, diplôme, contrôle)
et d’une meilleure organisation de l’enseignement supérieur et de la recherche
scientifique.
À cet effet, le chef du gouvernement a rappelé
toute l’importance du sujet de la refondation du secteur de l’éducation. Ce
processus doit bénéficier d’une très grande attention. Le caractère
scientifique de ces états généraux, a-t-il souligné dans ses propos, est lié au
fait que les recommandations qui seront formulées constitueront «une pierre
angulaire du processus de développement». Le Premier ministre a naturellement
accompagné ses interlocuteurs avec des recommandations.
Il d’agit, entre
autres, de s’inspirer de l’historique du secteur et la place de l’éducation
dans le jeu politique dans notre pays ; conserver les acquis et les revaloriser
; prendre davantage en compte les sensibilités des acteurs de l’éducation et
d’orienter la formation vers les domaines d’étude de création de richesses. Ces conseils du chef de l’Administration
malienne vont dans le sens de mettre l’éducation au-dessus des contingences
politiques et d’assurer la continuité, car «le destin du Mali se joue avec les états
généraux de l’éducation».
Source : Primature
Rédaction Lessor
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