La devise du Mali, le drapeau, l’hymne national, les armoiries et le sceau sont les sujets abordés lors de ce cours sur les symboles de l’État
La
devise du Mali, le drapeau, l’hymne national, les armoiries et le sceau sont
les sujets abordés lors de ce cours sur les symboles de l’état. Ce cours était
une séquence de la cérémonie de lancement de la leçon modèle sur
l’harmonisation et l’utilisation des symboles de l’état co-présidée, hier à
l’école franco-arabe de Darsalam, par le ministre de la Justice et des Droits
de l’Homme, Garde des Sceaux, Mamoudou Kassogué et son collègue de l’éducation
nationale, Dr Amadou Sy Savané.
Cette
leçon dispensée vient d’une initiative du président de la Transition, le
colonel Assimi Goïta, après avoir constaté que les symboles de l’état n’étaient
pas utilisés de manière harmonieuse au niveau des différentes institutions et
du public. En conséquence, le ministre de la Justice et des Droits de l’Homme,
Garde des Sceaux, Mamoudou Kassogué, a été instruit de prendre des mesures pour
faire en sorte d’arriver à une compréhension partagée de ces symboles et de
leur utilisation. C’est dans ce cadre que s’est tenue hier au Mémorial Modibo
Keïta, la cérémonie de lancement de la Semaine sur l’harmonisation et
l’utilisation des symboles de l’état qui s’étendra sur plusieurs jours au
niveau des différentes institutions.
Pour
le ministre Kassogué, ce sera l’occasion de partager avec toutes ses
institutions, les bonnes pratiques en matière d’utilisation des symboles. Mais
avant toute chose, pour mieux garantir la réussite de cette mission, Mamoudou
Kassogué a annoncé la mise en place d’une équipe d’experts constituée des
représentants des différentes institutions, des légitimités traditionnelles et
coutumières et des personnes ressources, sous la présidence du directeur national
des affaires judiciaires et du sceau. «Ce comité a travaillé pendant de longs
mois pour identifier tous les disfonctionnements, pour prendre en charge les
incohérences et essayé de proposer des solutions», a souligné le ministre
chargé de la Justice.
Saluant la pédagogie de l’enseignant et le sérieux des élèves, le ministre de l’éducation nationale a souhaité que cette leçon modèle serve à poursuivre la sensibilisation à l’extérieur des murs de cet établissement. «Cette sensibilisation se fera et nous sommes mobilisés pour cela. L’enseignant d’aujourd’hui et ses élèves, nous ont aidés et nous ont donnés des éléments d’espérer», a rassuré le Dr Amadou Sy Savané.
Quant aux élèves de la 9è année de l’école franco-arabe de Darsalam, ils sont unanimes pour dire que ce cours leur a appris beaucoup de choses et qu’ils sont prêts à partager ce qu’ils ont appris avec leurs amis.
Jessica Khadidia DEMBELE
Les rideaux sont tombés, vendredi dernier, sur la 4è session extraordinaire de la 6è mandature du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec). La cérémonie de clôture s’est déroulée dans les locaux de l’institution à Koulouba, présidée par son premier responsable,.
N’Tanfara, village situé à une vingtaine de kilomètres de Bamako, dans la Commune rurale du Mandé (Cercle de Kangaba), est une zone particulièrement difficile d’accès à cause de sa situation géographique. Les habitants vivant sur la colline ont beaucoup de difficultés d’accès à l’.
Le colonel Ousmane Abou Diallo a été réélu président de l’Amicale des anciens du Service national des jeunes (Ama-SNJ) pour un mandat de trois ans. Il dirige un bureau de 31 membres..
La cérémonie d’ouverture de la 4è session extraordinaire de la 6è mandature du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), s’est tenue lundi dernier au sein de son siège sis à Koulouba. Elle a été présidée par le premier responsable de l’Institution, Yacouba Kat.
Beaucoup de jeunes issus de milieux défavorisés aspirent à se lancer à l’aventure à travers l’émigration clandestine. Ils rêvent d’une vie meilleure dans d’autres pays, où ils peuvent allègrement gagner de l’argent et répondre aux besoins de leurs familles..
Mettre les 2/3 de ses fonds de souveraineté au service du peuple malien, c’est la promesse faite par le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, à nos compatriotes il y a trois ans lors de son investiture..
