
Le Ramed participe à la dynamique de prise en charge médicale gratuite des Maliens
Les travaux étaient dirigés par le secrétaire général du ministère
de la Santé et du Développement social, Dr Abdoulaye Guindo, en présence du
directeur général de l’Anam, Hameth BH. Traoré. La session a examiné et adopté les points d’exécution
du budget et du Plan de travail annuel (PTA) 2023, ainsi que le projet prévisionnel
du budget de l’exercice 2024 qui est équilibré en recettes et en dépenses à un
peu plus de 2, 989 milliards de Fcfa contre 3 milliards de Fcfa en 2023,
soit une diminution de 0,37%.
Sur
54 activités prévues dans le PTA 2023, 33 ont été réalisées, 12 autres sont en cours de réalisation et 9
activités non réalisées, soit un taux de réalisation de 72,11%. Au nombre des résultats
obtenus on peut citer, entre autres, l’immatriculation de 215.922 bénéficiaires
en 2023 et la prise en charge médicale
de 31.735 personnes.
Le
secrétaire général du ministère de la Santé et du Développement social, a
souligné que le Régime d’assistance médicale (Ramed) participe à la dynamique
de prise en charge médicale gratuite des Maliens dont le seul espoir repose sur
l’aide de l’état. Autrement dit, il s’agit des indigents reconnus comme tels.
Abdoulaye Guindo a donné l’exemple de la prise en charge complète de Maïmouna
Sanogo, amputée de ses deux bras. Il a expliqué avoir eu le privilège de
remettre le récépissé d’immatriculation au Ramed de cette femme au Premier
ministre lors d’une cérémonie organisée pour la circonstance afin qu’il lui
remette.
Il a rappelé de manière cumulative que de 2011
à nos jours, 3.422.731 personnes ont bénéficié de prestations médicales
gratuites. Ces chiffres montrent à suffisance le rôle éminemment capital de
l’Anam dans la gestion future du système non contributif en sa qualité
d’organisme gestionnaire délégué du Régime d’assurance maladie universelle
(Ramu) en gestation au Mali, s’est réjoui le secrétaire général. En ce qui
concerne le Plan de travail annuel budgétisé 2024, l’Agence s’inscrit dans la
dynamique de trouver des solutions concrètes et durables aux difficultés persistantes au nombre desquelles
la problématique d’un financement adéquat, l’insuffisance des ressources
humaines et le problème crucial de siège pour la direction générale, a-t-il
fait savoir.
Le directeur général de l’Anam a précisé que
sa structure a beaucoup de défis à relever au cours de l’année 2024. Ce travail
ne concerne pas seulement les personnes indigentes, mais également la prise en
charge des blessés de guerre, des pensionnaires des pouponnières et les détenus.
Hameth BH. Traoré a invité l’ensemble des collectivités à accompagner l’Anam au titre de l’exercice
2024 pour apporter le maximum de confort à toute la population cible.
Djénèba KASSOGUÉ
Rédaction Lessor
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