
Pour cette année, la Holding de la Compagnie malienne pour le développement des textiles (CMDT-SA) a adopté un budget qui, en termes de recettes dépasse 376 milliards de Fcfa, avec un résultat de près de 3,6 milliards de Fcfa. Cette annonce a été faite hier dans un hôtel de la place par son président directeur général, Nango Dembélé. C’était lors de la 95è session du conseil d’administration de Holding CMDT-SA.
Après l’examen des points inscrits à l’ordre du jour, le conseil a approuvé les procès-verbaux des 93è et 94è sessions du conseil d’administration de Holding CMDT-SA. Les participants ont aussi adopté le budget de l’exercice 2022 qui s’élève en produits à 376,361 milliards de Fcfa contre 136,400 milliards en 2021, soit une hausse de 176%.
Pour les charges, le budget de cette année se chiffre à 372,691 milliards de Fcfa contre 152,157 milliards en 2021, soit une hausse de 145% et concernant les investissements, ils s’élèvent à 14,410 milliards contre 1,100 milliard de Fcfa en 2021. Soit un résultat net prévisionnel de 3,669 milliards de Fcfa.
Selon le patron de Holding CMDT-SA, tous ces résultats, notamment le retour des producteurs dans les champs, sont les fruits du gouvernement qui n’a ménagé aucun effort pour créer les incitations afin que la production puisse repartir.
Au nombre des acquis, le prix du coton graine fixé à 280 Fcfa, le maintien de la subvention à 11.000 Fcfa, les efforts internes au niveau de la CMDT en termes d’accompagnement de la filière pour les amendements ainsi que l’intensification de l’encadrement.
«Par rapport à l’égrenage, nous n’avons pas beaucoup de soucis, car nous dépassons déjà les 400.000 tonnes de coton graine déjà égrené», a assuré le président directeur général de la Compagnie.
Pour Nango Dembélé, la quantité de production de coton graine attendue par la Holding CMDT-SA est estimée à 731.000 tonnes.
Fadi CISSE
Ce cadre de concertation permettra non seulement d’avoir un plan de travail pour 2025, mais aussi de considérer toutes les attentes de la population en amélioration leurs conditions de vie.
Des projets ont été pensés. En attendant leur réalisation, la mobilité sur le fleuve reste un rêve que caresse plus d’un Bamakois.
Les besoins annuels de notre pays en ciment sont estimés à 3.600.000 tonnes, a précisé le ministre de l’Industrie et du Commerce, Moussa Alassane Diallo, lors de sa rencontre avec les acteurs du secteur.
La rencontre permettra de discuter de la mise en place d’une compagnie aérienne qui permettra de desservir l’Afrique, mais aussi le reste du monde.
Bozola, en Commune II du District de Bamako. Il est 7 heures à l’école Séga Diallo. La journée s’annonce avec une forte fraîcheur..
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