
Venus de toutes les communes de la Région de Dioïla, les membres du mouvement Yéréwolo debout sur les remparts, les leaders religieux, les associations féminines, les jeunes, les membres de Fusi-Mali et les communicateurs traditionnels ont participé dimanche dernier à un meeting sur l’évolution de la Transition au Mali. La délégation du mouvement Yéréwolo debout sur les remparts venue de Bamako était conduite par Adama Diarra dit Ben le Cerveau.
Après avoir rappelé que le mouvement Yéréwolo debout sur les remparts défend les idéaux du premier président de la République du Mali, Modibo Keita, Adama Diarra dira que lui et ses camarades se battent aujourd’hui pour une justice équitable pour tous les Maliens.
Le leader du mouvement Yéréwolo debout sur les remparts a invité tous les Maliens à soutenir les chantiers de redressement du Mali lancés par les autorités de la Transition. «On ne libère pas un peuple, un peuple se libère», a-t-il martelé, ajoutant que le président Assimi Goïta est le libérateur du Mali, raison pour laquelle il mérite le soutien de tous les Maliens.
Le leader du mouvement Yéréwolo debout sur les remparts a également évoqué les potentialités de l’Afrique qui font de nous la convoitise de l’Occident. «Le départ de la France du Mali est une opportunité pour notre pays», a-t-il défendu, ajoutant que la montée en puissance de l’Armée malienne fait aujourd’hui la fierté de tous les Maliens.
Le Mouvement Yéréwolo debout sur les remparts compte s’installer sur l’ensemble du territoire national afin de sensibiliser les Maliens à comprendre les motivations réelles des autorités de la Transition, a fait savoir Adama Diarra. Et de préciser que l’apaisement du climat social a pu être possible grâce aux autorités de la Transition. Le seul point d’insatisfaction, d’après lui, est la lutte contre la corruption et les audits qui ne sont pas arrivés à terme.
À ce propos, les intervenants ont soutenu que de «gros poissons qui doivent être attrapés sont encore dans l’eau». Selon eux, pour une justice équitable pour tous, il revient aux autorités transitoires d’achever ce chantier que tous les Maliens attendent avec impatience.
Pour la population de Dioïla, les autorités de la Transition doivent faire en sorte que les délinquants financiers soient placés dernière les barreaux pour qu’on puisse parler réellement de «Mali Kura».
Auparavant, la délégation mouvement Yéréwolo debout sur les remparts avait rendu une visite de courtoisie aux légitimités traditionnelles. Comme d’habitude, les activités du mouvement ont débuté par une minute de silence à la mémoire des victimes militaires et civiles tombées pour le Mali et l’entonnement de l’hymne national du Mali.
Daniel FOMBA
Amap-Dioïla
Rédaction Lessor
Les enseignants des écoles publiques du District de Bamako reprennent le travail dès ce lundi 20 octobre 2025 aux heures habituelles des cours..
En marge de la 3è édition des journées Ouest-africaines de l'audit interne, tenues à Bamako les 16 et 17 octobre, le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta a reçu, ce vendredi 17 octobre, une délégation de l’Association des contrôleurs, inspecteurs et auditeurs .
Certains rapports occidentaux tentent désespérément de faire croire que le Mali serait une « république en ruine », une «transition sans cap», un pays «sous tutelle russe» condamné à l’isolement. Ce récit, souvent répété, ignore la logique interne d’un processus souverain qui.
Lancé depuis le mois de septembre, par la Direction nationale de la pédagogie (DNP) avec l’appui technique et financier du Projet d’amélioration de la qualité et des résultats de l’éducation pour tous au Mali (Miqra), l’atelier d’élaboration et de validation des livrets pédagogique.
Dans le cadre des activités de la 30è édition du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, le gouverneur de la Région de Mopti, le Général de brigade Daouda Dembélé a respecté la tradition en rendant visite, mercredi 15 octobre, aux deux personnes les plus âgées de la Co.
Suite à la recrudescence de l’insécurité dans la Région de Gao, des mesures strictes ont été prises concernant les activités illicites sur le site minier de N’tahaka, situé à une cinquantaine de kilomètres de la Commune urbaine de Gao..