
Pour lui, des plateformes comme Tik-Tok, WhatsApp, Instagram, Télégramme et Snapchat accessibles au public se transforment en espace de vente d'objets et de produits de tous genres. Cela, en lien avec la santé et l'intimité (lubrifiants, gels, gadgets manuels ou automatisés, gélules, comprimés, gants etc.). Aussi des réseaux de proxénétisme et d'incitation à la débauche ont été observés, déclare l’homme de droit.
« Il s'agit en l'espèce de groupes et de pages qui proposent leurs services en vue de mettre en relation des hommes et ou des femmes », souligne le communiqué, qui signale que des interpellations ont lieu à la suite d'ouverture d'enquêtes et se poursuivent.
Le procureur Adama Coulibaly rappelle qu'aux termes de l'article 512-53 du code pénal des sanctions sont prévues. En effet, est puni d'un à sept ans d'emprisonnement et d'une amende de 10 millions de FCFA quiconque fabrique ou détient tous imprimés, écrits, dessins, affiches, gravures, peintures, photographies, films ou clichés, matrices ou reproductions photographiques, emblèmes, objets ou images contraires aux bonnes mœurs en vue d'en faire commerce, distribution, location affichage ou exposition.
Ces peines sont valables pour toute personne qui importe ou fait importer, exporte ou fait exporter, transporte ou fait transporter sciemment ces objets aux mêmes fins ou les affiche, expose, ou projette aux regards du public. Sans oublier celles qui les vendent, louent, mettent en vente ou en location, même non publiquement.
Offrir ces objets, même à titre gratuit ou non publiquement sous quelque forme que ce soit, directement ou par moyen détourné ; distribuer ou remet les en vue de leur distribution par un moyen quelconque sont passibles aux mêmes sanctions.
« Il rappelle aussi que les articles 325-6 et 325-8 du code pénal punissent l'incitation à la débauche et le proxénétisme de peines d'emprisonnement et d'amendes », indique le communiqué.
Dr Adama Coulibaly signale que l'administration de substances nuisibles à la santé et l'exercice illégal des professions de santé sont passibles de poursuites, de peines d'emprisonnement et d'amendes suivants les articles 321-22 à 321-23 et 321-49 à 321-52 du code pénal. En application de ces dispositions, le procureur tient à informer que tout contrevenant à ses dispositions légales s'expose à des poursuites pénales, peut-on lire dans le document.
Bembablin DOUMBIA
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