
La ministre de l’éducation nationale, Mme Sidibé Dédéou Ousmane, lance les épreuves dans la salle n°3 du centre d’examen du lycée «Notre Dame du Niger (LNDN)
L’examen
de fin de cycle des écoles de formation en santé ou «Brevet des techniciens de
santé» (BT Santé) a démarré, hier pour prendre fin vendredi prochain.
Cette
année, ils sont 8.725 candidats, répartis entre 11 centres de 10 académies du
pays. La ministre de l’Éducation nationale, Mme Sidibé Dédéou Ousmane, a
procédé au lancement des épreuves au Centre d’examen du lycée «Notre Dame du
Niger (LNDN)» qui accueille 1.250 candidats, repartis entre 25 salles. Tous les
candidats de ce centre sont évalués en santé publique. 50 surveillants ont été
mobilisés pour veiller sur le déroulement des épreuves dans la transparence.
L’enseignement
supérieur qui façonne les infirmiers et sages-femmes d’État compte 4.437 candidats
déployés dans 7 centres. Les candidats en majorité des femmes, composent dans
les filières de la santé maternelle et infantile (SMI), la santé publique (SP)
et les techniciens de laboratoire et de pharmacie (TLP). Le District de Bamako
compte 4 centres d’examen : lycées (LNDN), «Kankou Moussa» de Daoudabougou,
«Ibrahima Ly» de Banankabougou et l’école «Franco-arabe» de Darsalam.
À
8 heures, la ministre de l’Éducation nationale a ouvert dans la salle n°3 la
première enveloppe contenant 375 copies de l’épreuve de pathologie médicale.
C’était en présence du directeur du Centre national des examens et concours de
l’éducation (CNECE), Mahamadou Keïta et du président de l’Association des
écoles de santé du privé, Dr Sidi Yaya Ba. Mme Sidibé Dédéou Ousmane a rappelé
que la santé est un domaine vital pour le développement de notre pays.
Les
futurs agents de santé auront entre leurs mains des vies humaines. Elle a
ajouté que l’examen du BT santé a la même valeur que les autres examens. Et
d’espérer que les résultats des candidats reflètent leurs connaissances et leur
travail. La ministre de l’Éducation nationale a aussi encouragé les candidats
et invité les surveillants à plus de vigilance.
Contrairement
aux autres examens, a précisé le président de l’Association des écoles de santé
du privé, chaque candidat à l’examen de fin de cycle des écoles de formation en
santé paie ses frais de candidature en raison de 27.000 Fcfa pour les
techniciens de santé et 30.000 Fcfa pour les Licences (infirmiers d’État, sages-femmes
d’État et biologie médicale).
Le ministère de l’Éducation nationale organise,
accompagne et met les centres et les salles d’examen à la disposition de
l’Association des écoles de santé du privé. Il a déploré l’absence
d’accompagnement financier de l’État et les décisions d’organisation de
l’examen au niveau supérieur (Licence). Dr Sidi Yaya Ba s’est réjoui du fait
que les étudiants d’aucune école supérieure de santé n’ont été exclus pour
cause d’éligibilité.
Il est utile de rappeler qu’après avoir été admis à cet examen, les élèves obtiendront le Diplôme d’études fondamentales (DEF+3) et les étudiants décrocheront la Licence. Ceux-ci peuvent devenir des techniciens de santé, des infirmiers d’État ou des sages-femmes d’État.
Sidi WAGUE
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