
Le présidium lors
de la rencontre
Il avait à ses côtés le
nouveau représentant de l’OMS au Mali, Patrick Kaboré, les présidents de
l’Amafinu du Burkina Faso et du Niger, respectivement Bouri Jean Victor
Sanhouidi et Mamadou Dagra. Le président de l’Amafinu
du Mali a souligné la contribution importante de son regroupement au
développement du pays. À cet effet, Pr Bah Keïta a énuméré des actions dans des
domaines clés, notamment la sécurité, la cohésion sociale, la paix, la santé et
l’environnement.
Il a rappelé les liens
étroits entretenus avec les agences des Nations-unies et insisté sur les
activités d’entraide et de solidarité menées à l’endroit des membres de
l’association, des aînés qui ont fait valoir leur droit à la retraite. Pr Bah
Keïta a également exprimé sa gratitude aux participants, notamment les
représentants du Burkina Faso et du Niger, mais aussi aux autorités maliennes
et aux organisations partenaires.
Parlant de leurs collègues
du Burkina Faso et du Niger, l’ancien fonctionnaire onusien a indiqué que leur
présence témoigne de leur engagement à renforcer le partenariat stratégique
entre leurs différentes associations. Et de souligner l’importance du
partenariat avec d’autres associations et la nécessité de continuer à œuvrer
ensemble pour le bien-être du Mali. Le nouveau représentant de
l’OMS au Mali a salué les membres de l’Amafinu et rappelé leur parcours et leur
engagement. Patrick Kaboré a insisté sur la nécessité pour eux de transmettre
leurs expériences aux générations actuelles.
Pour sa part, le président
de l’Amafinu du Burkina Faso a mis l’accent sur le partage d’expériences et
d’informations pour améliorer l’organisation et les travaux au sein de la
société. Bouri Jean Victor Sanhouidi a abordé les défis communs rencontrés et
la nécessité de collaborer pour faire face aux crises. Il a relevé
l’implication d’associations et d’anciens fonctionnaires des Nations-unies,
ainsi que le travail avec le ministère en charge des Affaires étrangères, la
Fonction publique et les services des affaires sociales. L’ancien diplomate
onusien du Burkina a invité tous à surmonter les incompréhensions et à œuvrer
pour un avenir meilleur.
De son côté, Mamadou Dagra
s’est réjoui de son invitation à cette assemblée. Celui qui n’avait pas visité
la ville de Bamako depuis les années 80-85 lorsqu’il était ministre de
l’Éducation de son pays a émis le vœu de voir ces associations multiplier les
échanges entre elles, notamment sur leurs fonctionnements et défis. Il a exprimé sa gratitude
envers l’Amafinu pour cette opportunité de partage.
Gaoussou TANGARA
Rédaction Lessor
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