
«J’ai eu un entretien téléphonique avec le président Poutine. Nous avons évoqué la situation du Niger. Il a souligné l’importance d’un règlement pacifique de la situation pour un Sahel plus stable», a fait savoir le chef de l’État, le colonel Assimi Goïta, sur son compte Twitter (plateforme devenue X).
Cet entretien téléphonique intervient au
moment où la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao)
semble tenir un discours apaisé mais ferme l’égard des nouvelles autorités nigériennes.
Réunis le jeudi 10 août lors de son deuxième sommet extraordinaire, la conférence
des chefs d’État et de gouvernement a ordonné un déploiement de la Force en
attente pour le rétablissement de l’ordre constitutionnel au Niger.
Concomitamment l’organisation sous-régionale a souligné son engagement
permanent en faveur du rétablissement de l’ordre constitutionnel par des moyens
pacifiques. Le président de la Commission de l’Union africaine (UA) a annoncé
son soutien en fafeur des dirigeants de la Cedeao.
De leur côté, les gouvernements de Transition
du Burkina Faso et Mali ont, dans un communiqué conjoint publié le lundi 31
juillet, exprimé leur solidarité fraternelle au peuple du Niger «qui a décidé
en toute responsabilité de prendre son destin en main et d’assumer devant
l’Histoire la plénitude de sa souveraineté». Maliens et Burkinabè ont prévenu
que toute intervention militaire au Niger voisin serait traitée comme une déclaration
de guerre.
Pour joindre l’acte à la parole, les deux pays ont envoyé le lundi
07 août, une délégation à Niamey, conduite par le ministre d’État, ministre de
l’Administration territoriale et de la Décentralisation, le colonel Abdoulaye
Maïga. Objectif : témoigner de la solidarité des deux pays au peuple frère
du Niger.
Aussi, les ministres en charge des Affaires étrangères du Burkina Faso et du Mali ont adressé, le mardi 08 août, une lettre conjointe à la présidente du Conseil de sécurité des Nations unies, Mme Linda Thomas-Greenfield, appelant à la responsabilité principale de l’Onu pour empêcher «une action armée contre un État souverain dont l’ampleur des conséquences serait imprévisible».
Souleymane SIDIBE
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