Le projet de résolution sur la demande d'admission de la Palestine à l'ONU a été présenté par l'Algérie. Il a reçu 12 voix pour, 1 voix contre (États-Unis) et 2 abstentions (Royaume-Uni et Suisse). Pour être adoptée, a expliqué l'ONU, la résolution devait recueillir au moins 9 voix pour et il fallait qu'aucun membre permanent du Conseil à savoir la Chine, les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et la Russie n'utilise son veto.
Parlant de la raison de son veto, le représentant permanent adjoint des États-Unis, Robert Wood, a déclaré que les membres du Conseil ont la responsabilité particulière de garantir que leurs actions favorisent la cause de la paix et de la sécurité internationales et sont conformes aux exigences de la Charte des Nations Unies.
Il a souligné que le rapport du Comité d'admission de nouveaux membres reflétait qu'il n'y avait pas d'unanimité parmi les membres quant à savoir si le candidat satisfaisait aux critères d'adhésion, conformément à l'article IV de la Charte des Nations unies.
Par exemple, il reste des questions non résolues quant à savoir si le demandeur répond aux critères pour être considéré comme un État, a-t-il déclaré. « Nous demandons depuis longtemps à l’autorité palestinienne d’entreprendre les réformes nécessaires pour contribuer à établir les qualités nécessaires à la création d’un État et notons que le Hamas, une organisation terroriste, exerce actuellement pouvoir et influence à Gaza, une partie intégrante de l’État envisagé dans cette résolution », a-t-il dit, expliquant que c'est pour ces raisons que les États-Unis ont voté « non ».
Robert Wood a déclaré que les États-Unis continuent de soutenir fermement une solution à deux États. « Ce vote ne reflète pas une opposition à la création d’un État palestinien, mais plutôt la reconnaissance du fait qu’il ne viendra que de négociations directes entre les parties », a-t-il souligné.
L'ONU a rappelé que le Conseil de sécurité s'était réuni le 8 avril dernier pour examiner la candidature de l'État observateur de Palestine à une adhésion à part entière à l'ONU et avait décidé de soumettre cette candidature au Comité spécialisé mis en place pour examiner les nouveaux membres. Ce Comité s'est réuni les 8 et 11 avril derniers pour discuter de la question.
La Palestine est actuellement un État observateur non membre de l'ONU, le même statut que celui détenu par le Saint-Siège. Ce statut d'observateur permet à la Palestine de participer à toutes les procédures de l'Organisation, à l'exception du vote sur les projets de résolution et de décisions dans ses principaux organes et institutions, du Conseil de sécurité à l'Assemblée générale et ses six commissions principales.
Selon la Charte des Nations Unies, l'adhésion à l'ONU « est ouverte à tous les autres États épris de paix qui acceptent les obligations contenues dans la présente Charte » et « sont capables et désireux de s'acquitter de ces obligations ».
Mohamed DIAWARA
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