
Remise d’un don au préfet Modibo Kane Togo
Mardi 7 janvier dernier,
sous la présidence du 2è adjoint au préfet, Zakaridja Samaké, 350 abris, 28
blocs latrines, 16 lampadaires solaires ont été offerts par l’Organisation
international pour les migrations (OIM) pour soulager les souffrances des
personnes déplacées. Le même partenaire avait auparavant distribué 400 kits
Non-Food Items (NFI) terme humanitaire en anglais, voulant dire (Biens non
alimentaires) et comprenant surtout une variété d’articles et d’ustensiles dont
des couvertures, matelas, vêtements, savons, brosses á dents, lampes, bougies,
bâches et tentes… afin de répondre aux besoins fondamentaux des déplacés.
En décembre dernier, 200
kits de dignité constitués de pommades, savons, serviettes hygiéniques et
cotons, soutiens gorges… pour les jeunes femmes en âge de procréer et 10 fosses
á ordures installées les 5 et 6 janvier derniers avaient été offerts aux
déplacés. Ils sont des milliers de déplacés, réfugiés à Niafunké ville en 2024.
Certains ont tout abandonné derrière eux : champs, animaux, écoles boutiques,
pirogues, etc. Les causes de leur départ sont multiples, diverses et complexes
selon les endroits mais, aussi, et surtout la crainte des Groupes armés
terroristes, le banditisme.
Comme si cela ne suffisait
pas, la montée des eaux du fleuve Niger a atteint une grande partie de leur
site de réinstallation, obligeant beaucoup d’entre eux à devenir de véritables
nomades. Installés d’abord dans les écoles et chez des proches en ville, bon
nombre d’entre eux ont finis par regagner le site aménagé pour les accueillir à
l’Est de la ville.
Habitant sous une tente de
fortune en nattes et construite à la hâte, sans eau ni latrines et ainsi que d’autres
dans de vieux bâtiments coloniaux, au quartier Bamako Coura, près du lycée
Bocar Cissé vit dans des conditions sanitaires et hygiéniques limites. Aujourd’hui, disposant de
tous ces appuis et aussi d’un château d’eau, les déplacés s’estiment heureux.
L’OIM, en un mois de présence sur le terrain, a mené des enquêtes d’évaluation
et de ciblage des déplacés et leurs besoins cruciaux et a réussi à organiser
des distributions gratuites dans une très grande transparence, à la grande
satisfaction des bénéficiaires et des autorités locales de Niafunké. Lors de chaque
distribution, le préfet ne cesse de rappeler que «tous les Maliens ont droit à
une vie paisible et, en cas de difficultés, à l’assistance comme le veulent les
autorités du pays», avant d’ajouter que «chacun est mieux chez soi».
Sekou A MAïGA / AMAP - Niafunke
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