Le gouverneur de la région, le Général de brigade Daouda Dembélé, préside la réunion
La cérémonie d’ouverture était présidée par le Général de brigade Daouda Dembélé, gouverneur de la région. C’était en présence du 2è vice-président du conseil régional, Sylvain Coulibaly, du représentant du maire de la Commune urbaine de Mopti, Albassa Maiga et de l’ensemble des préfets des huit cercles de la région.
Deux jours durant, le comité a examiné le rapport semestriel sur la gestion administrative et financière des collectivités territoriales, le plan opérationnel 2025 du conseil régional de Mopti et son bilan 2024. Parmi les documents soumis à l’analyse du comité figurait aussi les projets d’investissement à soumettre au financement national d’appui aux collectivités géré par l’Agence nationale d’investissement des collectivités territoriales (ANICT), la synthèse et le programme des besoins de formation à soumettre au centre de formation des collectivités et autres acteurs de formation. Les membres du comité ont également passé en revue la situation de la mobilisation des ressources financières.
Au regard de l’importance de l’exercice qui vise à promouvoir la synergie des actions de développement entre différents intervenants dans la région, le gouverneur avait exhorté les participants à l’assiduité requise et de participer activement aux échanges. Il a remercié le conseil régional pour son appui précieux à l’organisation de la présente session.
Dramane COULIBALY / Amap - Mopti
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.