Les candidats et des parents d’élèves regardant les résultats au lycée «Askia Mohamed»
Les
résultats du Baccalauréat (Bac), session de juin 2024 ont été proclamés le
vendredi dernier. Cette année, ils étaient au total 234.609 candidats dont 152
inscrits à Bassikounou, un camp des réfugiés maliens en Mauritanie. Parmi, ces postulants,
47.498 ont été définitivement déclarés admis au Baccalauréat. Ce qui représente
un taux national d’admission de 27,23%.
Ce
taux a connu une hausse de 2 points par rapport à celui de 2023 qui était de
24,26%, a précisé le directeur du Centre national des examens et concours de
l’éducation (CNECE) Mahamadou Kéïta a soutenu que cette progression s’explique
par le fait que l’année scolaire 2023-2024 a été normale. Elle s’est déroulée
sans perturbations et sans grèves. Les programmes scolaires ont été bien
exécutés, s’est réjoui le directeur du CNECE. Les candidats et leurs parents
ont envahi l’enceinte du lycée «Askia Mohamed» avant la proclamation des
résultats.
Dès l’affichage de ceux-ci, ils se sont massés autour des listes à
la recherche de leur nom. Si certains élèves explosaient de joie pour avoir
aperçu leur nom parmi les admis, ceux qui ont échoué repartaient la mine
serrée, mais visiblement déterminés. Des candidats malheureux n’arrivaient pas
à retenir leurs larmes. Ils ont pu compter sur le soutien des parents et amis
qui étaient présents pour les consoler.
Pendant ce temps, des amis livraient
les secrets de leur réussite. «J’ai
passé toute l’année à faire des exercices. Je savais que j’allais être admise,
car j’avais confiance en moi. Cette réussite est le fruit de mes efforts»,
s’est réjouie la nouvelle bachelière Aïchata Ousmane Sagara qui a laissé
exploser sa joie. Elle confie qu’elle poursuivra ses études supérieures dans le
domaine de la santé.
Son camarade Tièmoko Ouattara n’a pas été admis au Bac. Ce
candidat malheureux estime avoir obtenu une note de 12/20 comme moyenne
annuelle. Il reconnaît, par ailleurs, n’avoir pas travaillé en classe dans
certaines disciplines. L’élève a reconnu ainsi son échec et fait son mea-culpa.
«J’ai fourni beaucoup d’efforts en histoire et en sociologie. Mais mon échec
vient des matières comme la philosophie et la géographie», pense Tièmoko
Ouattrara.
Sidi WAGUE
Le processus Démobilisation, Désarmement, Réinsertion et Intégration (DDR-I) a officiellement démarré, le samedi 29 novembre 2, dans la Région de Mopti. C’est au camp de jeunesse de Soufouroulaye, en présence des autorités administratives et militaires, que ce tournant majeur pour la stab.
Avec l’arrivée de la saison froide, le Grand marché de Sikasso connaît une forte affluence autour des vêtements d’occasion, appelés aussi fripes qui protègent contre le froid. Pull-over, manteaux, couvertures, écharpes, chaussettes et autres accessoires se vendent comme du petit pain. Mal.
Cette antenne de l’Autorité de protection des données à caractère personnel sera un espace de proximité, d’écoute, d’assistance et d’accompagnement sur la protection des droits des citoyens.
Lors d’une cérémonie bâptisée Journée du bon élève et de la reconnaissance du mérite, l’Académie d’enseignement de Kayes a récompensé les meilleurs élèves et décerné des attestations à certains enseignants et employés du secteur de l’éducation.
Le commerce des fruits de saison au Mali (pastèque, pomme cannelle, goyave…) est une activité essentielle, animée par des vendeurs qui jonglent avec la provenance de ces produits, les prix fluctuants et les inévitables pertes.
Le Sénégal a commémoré, le lundi 1ᵉʳ décembre, le 81è anniversaire du massacre des tirailleurs africains à Thiaroye au Sénégal, un épisode tragique, qui demeure l’une des pages les plus sombres de l’histoire africaine. La cérémonie officielle, empreinte d’émotion et de solennit.