
Le potentiel petro-gazier de notre pays couvre un peu plus de 70% de sa superficie
Les
objectifs que s’est fixé l’Office pour cet exercice portent sur la
redynamisation et l’intensification de la recherche pétrolière et de
l’hydrogène, la bonne gouvernance dans le secteur et le renforcement des
capacités humaines et matérielles de la structure. Ces informations ont été
données par le ministre des Mines, Pr Amadou Keïta, lors de la cérémonie
d’ouverture des travaux de la 4è session ordinaire du conseil d’administration
de l’Office, tenue hier dans un hôtel de la place. C’était en présence du
directeur général de l’ONRP, Badara Aliou Koné.
Le nouveau code minier et la loi sur le Contenu local sont l’amorce d’une
nouvelle vision dans la gouvernance et l’exploitation des ressources de notre
sous-sol. Le secteur pétrolier et gazier ne restera pas en marge, a indiqué le
Pr Amadou Keïta. Selon le ministre des Mines, l’article 42 de la Constitution
qui rappelle que l’état dispose du droit souverain sur les richesses et les
ressources naturelles sur son territoire et que leur exploitation doit se faire
dans l’intérêt des générations présentes et futures, est un gouvernail pour
l’ensemble du secteur. En particulier, le secteur pétrolier et gazier qui est
stratégique et en proie à des convoitises parfois géostratégiques.
Le chef du département en charge des Mines dira que notre pays revendique
un potentiel petro-gazier couvrant un peu plus de 70% de sa superficie. Il
possède un des bassins les plus importants d’hydrogène, ressource du futur. Ce
potentiel, ajoutera-t-il, suffit à faire de l’ONRP une structure stratégique et
essentielle dans le virage politico-économique emprunté par le pays. Pour que
l’Office puisse se hisser à la hauteur des nouvelles exigences, il faut
l’outiller d’une vision en adéquation avec les attentes des populations. Il
doit être doté, en conséquence, de moyens humains et financiers.
Le ministre a expliqué que la direction de l’ONRP s’est attelée, dans un
contexte particulier et difficile, de 2020 à maintenant, à mettre en œuvre un
programme d’activités axé sur le renforcement de la recherche, l’exploration
pétrolière et la gouvernance du secteur. Cependant, certaines contingences
n’ont pas permis à l’Office de dérouler pleinement ce programme d’activités
durant l’année 2023, même s’il a travaillé sur la négociation et l’élaboration
des contrats pétroliers.
Pr Amadou Keïta a précisé qu’à ces trois objectifs
cités ci haut, sont associés 9 indicateurs cibles qui permettront de mesurer
les performances et de projeter les efforts à fournir à court et à moyen
termes. Et d’ajouter que la baisse du budget prévisionnel traduit la période de
fortes pressions exercées sur notre pays, exacerbées par la crise financière
mondiale. Dans ce contexte, l’ONRP doit redoubler d’efforts en faisant preuve
de résilience afin d’obtenir les résultats escomptés. À cet égard, l’Office
aura besoin de l’appui des acteurs pour faire propulser le Mali vers le
développement de l’industrie pétrolière et gazière, qui est l’un des moteurs
d’épanouissement économique du pays.
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