
Tout est bien qui finit bien. Les chauffeurs routiers marocains, enlevés le 18 janvier dernier au Nord-Est du Burkina Faso près de la frontière avec le Niger, ont recouvré la liberté le dimanche 3 août. Après leur libération, les désormais anciens otages ont été reçus en audience, hier en début de soirée au palais de Koulouba, par le Préludent de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta.
Même s’il n’y a pas eu de déclaration à l’issue de l’audience, le gouvernement a publié un communiqué dans lequel, il informe l’opinion nationale et internationale que les quatre chauffeurs routiers marocains ont été libérés sains et saufs dans la soirée du dimanche 03 août. Selon le communiqué, ils étaient entre les mains du groupe terroriste État islamique dans la province du Sahel qui est la branche sahélienne de Daech.
Cette libération a été un succès grâce à la coordination des efforts entre l’Agence nationale de la sécurité d’État (ANSE) du Mali et la Direction générale d’études et de documentation du Maroc. Lesquelles ont mené ensemble les investigations avec détermination et professionnalisme depuis les premières heures de l’enlèvement.
Namory KOUYATE
Les échanges avec la délégation du Congrès ont porté sur la situation au Mali afin de voir comment les États-Unis et notre pays peuvent collaborer et travailler ensemble.
L’enseignant-chercheur à l’université Kurukanfuga de Bamako propose des solutions pour booster le secteur des technologies de l’information et de la communication (Tic). Aussi, l’universitaire livre une réflexion plus poussée en matière de cyber sécurité.
Au cours de la rencontre, le ministre Sergueï Tsivilev a rendu compte au Président de la Transition de la tenue de la 1ère session de la commission intergouvernementale. L’hôte de marque a aussi évoqué la signature de plusieurs accords.
Le document, remis au Chef de l’État le 22 juillet dernier, comporte un préambule, 16 titres, 39 chapitres et 106 articles. Il est la manifestation de la volonté des Maliens de trouver des solutions endogènes à leurs problèmes et crises sans interférence extérieure.
Le dernier hommage en date pour l’ancien Premier ministre est venu de la personnalité la plus autorisée, à savoir le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta..
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