
Cette 5è édition est placée sous le thème de la transformation du coton, source de création d’emplois et de développement durable. C’est un festival de rendez-vous de donner et de recevoir au cours duquel il y aura des expositions, des visites touristiques, des conférences débats, des défilés de mode et concerts.
Lors de la cérémonie d’ouverture, le 1er adjoint au maire de Kita, Soriba Cissé, en souhaitant la bienvenue aux hôtes, a rappelé que sa ville est une zone de production de coton par excellence. Pour lui, le coton doit être un levier de développement économique par son industrialisation afin de contribuer à l’emploi des jeunes et de diminuer l’immigration.
Le président de l’Association des jeunes pour la valorisation du coton, Abdramane Sy, a plaidé pour l’industrialisation du coton afin de dépasser les 2%. Il s’est réjoui que notre pays soit le premier producteur du coton dans la sous-région grâce aux efforts du gouvernement de la Transition. Le président de l’Apcam, Sanoussi Bouya Sylla, a remercié les acteurs du coton pour le résultat de la campagne 2021-2022. Selon lui, ces objectifs ont été atteints grâce à trois facteurs combinés.
À savoir, la volonté politique du gouvernement de Transition qui a pu acheter le coton à 280 Fcfa le kilogramme et maintenu les engrais subventionnés à 11.000 Fcfa le sac, en plus de l’engagement de la Compagnie malienne pour le développement des textiles (CMDT) et de la bravoure des cotonculteurs. Il assurera que le Mali est en train de devenir le champion en Afrique de la production du coton avec plus de 700.000 tonnes.
Aussi, pour Sanoussi Bouya Sylla, le défi important reste d’encourager toutes les bonnes initiatives capables d’être impactées par le développement rural. C’est-à-dire, la transformation locale de nos produits agricoles, d’emploi pour les jeunes et de valeur ajoutée à l’économie du pays. Il précisera que cette 5è édition rentre dans le cadre d’une synergie d’actions en vue de valoriser et de promouvoir le coton tout en rendant la filière compétitive.
Dr Choguel Kokalla Maïga a insisté sur la détermination du président de la Transition et du gouvernement à soutenir le monde paysan, précisément les cotonculteurs et tout ceux qui évoluent dans le domaine de sa transformation, sa commercialisation et sa consommation. Il a donné l’assurance qu’une deuxième usine de transformation du coton à Kita est en voie de réalisation. Auparavant, le Premier ministre a expliqué aux légitimités de Kita que l’Armée est montée en puissance et que la peur a changé de camp en un mois. Ces dernières ont fait des prières pour notre pays et les autorités de la Transition.
Envoyé spécial
O. D.
Oumar DIAKITE
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