Partout (aussi bien dans son pays d’origine qu’en France), cet homme d’une grande intelligence et à l’expertise médicale avérée avait su imposer son autorité bâtie sur des piliers d’airain. Le respect qui lui était unanimement voué par les médecins maliens et français était vraiment à la hauteur de la fascination qu’il exerçait sur eux. Homme affable, praticien professionnel jusqu’au bout des ongles, humaniste convaincu, il restera un modèle pou de nombreuses générations, notamment pour la jeune garde de médecins maliens.
Ce scientifique hors norme fera de brillantes études de médecine à la Faculté René Descartes à Paris. Il fut chargé de cours à l’Université René Descartes/ Sorbonne Paris I. Mais également médecin de sécurité sociale et de la préfecture de Paris, attaché et consultant des hôpitaux de Paris, notamment l’hôpital intercommunal de Crétail, ceux de la Salpêtrière, de Cochin et Port-Royal. Membre fondateur de la Fédération des étudiants d’Afrique noire en France (FEANF), il a toujours gardé des attaches avec la patrie puisqu’il fut le médecin de la communauté malienne dans l’Hexagone.
Dr Abdoulaye Fadiala Kéita était donc chargé du dépistage systématique de la tuberculose et des pathologies tropicales dans les foyers de travailleurs migrants. Pneumologue et spécialiste en médecine aéronautique et en médecine tropicale, il a gardé attache avec son pays où, il a toujours ccompagné les bonnes causes. Tout comme l’une de ses filles, Dr Daffa Djénéba Keïta, chef de service de rhumatologie à l’hôpital Jean Jaurès à Paris et qui marche sur ses traces.
Ces âmes sensibles ont très souvent fait don de matériels à nos structures de santé et organiser des consultations gratuites avec des dons de médicaments. Celui qui a passé sa vie à se rendre utile aux autres a officié pendant plus de 40 ans en France. Sa trajectoire représente un exemple pour les praticiens. Ce digne fils qui avait l’amour du pays chevillé au cœur était Commandeur et Grand officier de l’Ordre nationale du mérite.
Brehima DOUMBIA
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
Le Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) a tenu, vendredi dernier, la 6è session de son comité de pilotage dans les locaux du ministère de l’Agriculture. L’ouverture des travaux ét.
Le major de la 47è promotion (2023-2025) de l’Ecole militaire interarmes (Emia) de Koulikoro s’appelle Idrissa Tiama de nationalité malienne. Il s’est classé premier avec une moyenne de 16 /20 devant ses camarades de différentes nationalités. Le fils de Diakaria et de Maïmouna Tiama est .
Les 343 officiers d’active de la 47è promotion de l’École militaire interarmes (Emia) de Koulikoro peuvent être fiers du parcours exemplaire de leur parrain au sein de l’Armée malienne. Feu Général de brigade Pangassy Sangaré, puisqu’il s’agit de lui, nait le 11 juin 1947 à Kati. I.
La promotion 2023-2025 compte 343 élèves officiers d’active dont 311 Maliens et 32 étrangers. Le major de la promotion est le Sous-lieutenant Idrissa Tiama du Mali avec une moyenne de 16/20.