
Le directeur général du Cenou, Salia S. Traoré
La manifestation organisée
le 23 janvier par les étudiants de la Faculté de médecine d’odontostomatologie
(FMOS) et de la Faculté de pharmacie (FAPH) dans leurs installations au Point G
pour protester contre le paiement tardif de leurs allocations financières a
suscité, lundi dernier, la réaction du Centre national des œuvres
universitaires (Cenou).
Dans un communiqué, la structure en charge des œuvres
universitaires a déclaré qu’un jour avant la manifestation, elle avait d’ores
et déjà pris toutes les dispositions idoines pour assurer le paiement de ses
allocations financières. Sur les plateformes
numériques du Cenou, on pouvait constaté que l’information sur le calendrier de
paiement des allocations était disponible depuis le 21 janvier dernier, soit
deux jours avant ce mouvement estudiantin.
Le directeur général du
Cenou, Pr Salia Sinaly, à travers un communiqué de presse, a affirmé que le
paiement des trousseaux pour les étudiants de la FMOS et des bourses pour ceux
de la FAPH était déjà programmé du 24 janvier au 5 février 2025. Et le document
indique que la même programmation est valable pour 18 autres structures
universitaires. À ce jour, a-t-il insisté, ces sommes ont été versées,
conformément au calendrier annoncé.
Par ailleurs, le Cenou a assuré que le
retard dans le paiement des allocations des bacheliers de la session 2023 de la
FMOS et la FAPH est dû à la réception tardive des décisions d’inscription par
la structure. Le communique explique que les dossiers sont en cours de
traitement et le paiement interviendra incessamment. Le patron du Cenou a
précisé que l’État a mobilisé plus de 7 milliards de Fcfa depuis le 1er
novembre dernier pour garantir le paiement régulier des allocations financières.
Dans des vidéos devenues virales sur les réseaux sociaux, les étudiants des
facultés de médecine et de pharmacie, vêtus de blouses blanche, avaient dénoncé
le retard de paiement de 8 mois d’allocations financières. Une situation qui,
selon eux, ne leur permettait plus de vivre correctement au quotidien, de payer
leurs loyers et d’exécuter leurs stages dans les hôpitaux.
Mohamed DIAWARA
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