Il s’agit de Y.D allias "Papou", T.D allias "Bah", D.T, Y.D, J.P.B, dit Paul, A.S, et B.H, celui la même qui semble être le cerveau présumé de la bande.
Selon de sources policières, les sept quidams (ils ont entre 19 et 21 ans) étaient organisés de façon qu’ils pouvaient opérer tranquillement et pendant longtemps sans se faire prendre.
C’est ainsi que sur les sept, trois étaient très actifs sur le terrain, alors que les quatre restants (dont un receleur avéré) étaient des complices qui participaient plus ou moins aux opérations nocturnes sur le terrain. Plusieurs cas de vol en série- La particularité de ces individus résidait dans le fait qu’ils étaient tous connus par leur voisinage comme des délinquants notoires.
Cependant, en dépit de cette mauvaise réputation dont ils jouissaient, ils n’hésitaient pas à opérer dans leur propre secteur dans le quartier. Ainsi, dans certains cas, leurs victimes n’étaient autres que leurs voisins plus ou moins immédiats.
Ces bandits de grand chemin, seraient loin d’être des novices et auraient commis plusieurs cas de vol en série dans ce quartier populaire de la commune V et ses environs, notamment dans leurs voisinages. Ils étaient (logiquement) connus dans les archives de la police pour leur implication dans la commission de plusieurs infractions.
Durant leurs opérations, en cas de résistance de la part de leurs victimes, ces malfrats n’hésitaient pas à faire feu pour contraindre leur vis-à-vis à leur laisser leurs engins à deux roues. Face à la recrudescence des attaques visant les motocyclistes dans certains secteurs de Sabalibougou, les limiers ne pouvaient pas rester sans réagir. Ils ont activé leurs réseaux de renseignement tout en sollicitant la collaboration des populations.
Cette stratégie s’avérera payante, car ayant permis de localiser les malfrats dans ce vaste quartier populaire de la Commune V du District de Bamako.
Les trois bandits les plus actifs seront coincés et interpellés sans résistance aucune. Auditionnés, ils ont dénoncé leur quatre complices qui les ont ensuite rejoint dans les locaux des policiers. Dans la foulée, une perquisition a permis aux policiers de saisir quatre (04) motos dont deux (02) de type TVS et autant de Djakarta, toute de provenance douteuse. Face aux preuves irréfutables, les policiers n’ont pas trainé avec leurs dossiers qu’ils ont envoyés au paquet dont relève le secteur.
Tamba CAMARA
Les éléments de la brigade mobile d’intervention (BMI) des services douaniers viennent une fois de plus prouver qu’ils veillent au grain et qu’ils sont prêts à lutter efficacement contre la fraude les trafics illicites et la criminalité transfrontalière..
Les accidents de travail sont monnaies courantes. Comme pour dire que chaque métier à ses risques. Cependant, il suffit de prendre le minimum de précaution pour être à l’abri d’un accident mortel..
Nous les désignerons par leurs initiales pour des raisons bien compréhensibles. Il s'agit de M.K (17 ans), B.W (18 ans), B.T (28 ans), M.T (48 ans), Mo.K (17 ans) et Mo.T (16 ans)..
«L’apparence est trompeuse», dit une maxime connue de tous. Autrement dit, on ne doit jamais se laisser convaincre par ce qu’on aperçoit à l’extérieur d’un individu. Et pour cause, il est possible que la personne garde des tonnes de mauvaises choses à l’intérieur d’elle même..
Les policiers les plus avertis vous diront que « l’occasion fait le larron ». Eux (les limiers) qui ont pour mission de protéger les personnes et leurs biens dans la cité savent de quoi ils parlent. Pour la simple raison que chaque jour que Dieu fait, les malfrats prouvent l’évidence de cet.
De par leur nature, certains individus ne se plaisent que lorsqu’ils constatent que leurs semblables traversent des moments de difficultés, quoi que éphémères..