Ils ont ainsi réalisé il y’a juste quelques jours, une saisie record de 09 tonnes de viande volaille avariée sur les berges du fleuve Niger. Cette importante quantité était destinée au marché local. D’après les services en charge de la communication de la direction générale des douanes qui donne l’information, cette opération s’est déroulée dans la nuit du 19 novembre dernier, à Niôbougou, village situé à environ une quarantaine de 40 km du poste douanier ( sortie sud de Bamako). Une fois qu’ils ont mis la main sur ce produit avarié, les agents BMI ont immédiatement interpellé tous ceux qui étaient impliqués de près ou de loin dans cette activité illicite.
De sources proches de la BMI, le succès de cette opération repose sur le renseignement recueilli à la base. A la suite de l’exploitation du dit renseignement, les éléments de la BMI auront la preuve que les informations dont ils disposaient ne souffraient d’aucun doute. Dans les heures qui ont suivi, les gabelous ont toute affaire cessante rallié les berges de la localité ci dessus indiquée. Disposant ainsi d’informations quasi certaines depuis leur base, ils n’auront pas de grande difficulté à trouver ce qu'ils recherchaient.
Ainsi débuta une traque nocturne discrète sur le fleuve Niger, sur les hauteurs du village de Niôbougou. Après quelques heures de filature sur l’eau, les agents assermentés de la BMI interceptèrent deux pirogues chargées d’environ 900 cartons de viande fraîche de volaille, d’origine étrangère, pour un poids total estimé à 9 tonnes. Cette cargaison massive, était destinée à échapper aux circuits légaux avant d’inonder le marché local de viande de volaille impropre à la consommation, cela, au mépris des normes sanitaires et fiscales en vigueur.
L’opération nocturne qui vient d’être réalisée avec succès témoigne de la vigilance constante, du dévouement et de la réactivité exemplaire des agents de la Brigade Mobile d’Intervention de Bamako. Le moyen ultra moderne dont disposent ces derniers constitue un véritable rempart contre les trafiquants de tout genre. Une fois de plus le renseignement a joué un rôle prépondérant dans la lutte contre les trafiquants de tout acabit.
Tamba CAMARA
Les accidents de travail sont monnaies courantes. Comme pour dire que chaque métier à ses risques. Cependant, il suffit de prendre le minimum de précaution pour être à l’abri d’un accident mortel..
Nous les désignerons par leurs initiales pour des raisons bien compréhensibles. Il s'agit de M.K (17 ans), B.W (18 ans), B.T (28 ans), M.T (48 ans), Mo.K (17 ans) et Mo.T (16 ans)..
«L’apparence est trompeuse», dit une maxime connue de tous. Autrement dit, on ne doit jamais se laisser convaincre par ce qu’on aperçoit à l’extérieur d’un individu. Et pour cause, il est possible que la personne garde des tonnes de mauvaises choses à l’intérieur d’elle même..
Les policiers les plus avertis vous diront que « l’occasion fait le larron ». Eux (les limiers) qui ont pour mission de protéger les personnes et leurs biens dans la cité savent de quoi ils parlent. Pour la simple raison que chaque jour que Dieu fait, les malfrats prouvent l’évidence de cet.
De par leur nature, certains individus ne se plaisent que lorsqu’ils constatent que leurs semblables traversent des moments de difficultés, quoi que éphémères..
Les éléments du commissariat de la Régie chemins de fer de Kayes avec à leur tête le commissaire principal Mohamed B. Koumaré, ont récemment mis hors d’état de nuire quatre individus qui s’apprêtaient à mettre sur le marché de la viande de bœuf impropre à la consommation..