
Un véhicule a percuté
les garde-fous avant de finir sa course dans le fleuve Niger. L’engin à quatre
roues a été ensuite repêché par les agents de la Protection civile et de
sécurité avec un corps sans vie. Cette situation a créé un embouteillage
monstre.
Tous les usagers du pont des Martyrs ont été contraints de se déporter
sur le pont Fahd pour certains et vers le 3è pont pour d’autres. Les usagers
étaient donc pris dans la nasse et chacun cherchait à s’extirper du bouchon. Au
passage de notre équipe de reportage, le pont des Martyrs était toujours
inaccessible.
L’impact
du choc était encore visible sur le pont. La circulation a été donc interrompue
pendant quelques heures, provoquant du coup un grand embouteillage. Selon les
témoignages des agents de la brigade fluviale, le véhicule a été repêché et
aurait été ramené au Commissariat du 4è Arrondissement à Torokorobougou.
Au
passage de votre serviteur, aucune information n’avait filtré sur l’identité du
corps sans vie qui a été repêché des eaux du fleuve Djoliba. Les enquêtes sont
en cours pour déterminer les circonstances de l’accident.
N'Famoro KEITA
Le ministère des Maliens établis à l’Extérieur et de l’Intégration africaine et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) ont signé, hier dans un hôtel de la place, deux conventions de partenariat sur les principaux axes de leur collaboration..
Une mine d’or s’est effondrée ce mercredi 29 janvier 2025 sur un groupe de femmes à Danga, dans le cercle de Kangaba, a appris l’AMAP de sources locales..
«Les métiers vétérinaires : nouveaux enjeux, défis et opportunités. C’est le thème retenu de la 6è édition de la Journée nationale vétérinaire (Jonavet) 2025, célébrée samedi dernier au Parc national de Bamako..
Pour circuler à Bamako, les conducteurs des transports en commun s’adonnent à des acrobaties périlleuses créant des embouteillages si ce n’est pas pour provoquer des accidents graves.
Les difficultés liées à la mobilité dans la ville de Bamako crèvent les yeux. Le phénomène se justifie par la forte démographie et l’’implantation de tous les agrégats économiques, les hautes administrations à Bamako, y compris les grandes écoles et les ambassades..
Pour y arriver, les objectifs de production sont estimés à 680 mille hectares, avec un rendement d’un peu moins de 1 tonne à l’hectare.