La coupure du ruban symbolique s’est déroulée dans une ambiance conviviale
Cet événement
présidé par la directrice commerciale, Mme Diarra Kadidiatou Traoré, en
présence du directeur commercial adjoint, Drissa Coulibaly, du coordonnateur
général de PMU Mali, Birema Coulibaly, du promoteur du PCD de N’Tabacoro et de
certains agents de la direction commerciale, marque une étape clé dans le
développement et l’engagement du PMU Mali à mieux servir les parieurs, à
accroître sa stratégie push.
Cette agence sise à
l’immeuble Baobab à N’Tabacoro est composée de 4 guichets dont une salle VIP
avec toutes les commodités. Avec cette nouvelle implantation, le PMU Mali
renforce sa présence sur le marché et se rapproche davantage de ses parieurs
afin de proposer des services de proximité et de qualité. La cérémonie s’est déroulée
dans une ambiance conviviale, avec la coupure du ruban symbolique et une visite
guidée des locaux modernes et fonctionnels.
Cette agence proposera une
gamme complète des courses PLR et permet de se rapprocher des parieurs,
d’établir davantage une relation de confiance et de mieux comprendre les
besoins des parieurs. Cette présence à ’N’Tabacoro permet d’améliorer la
satisfaction des parieurs, d’acquérir de nouveaux parieurs et d’augmenter les
ventes.
Elle permet de renforcer la visibilité de PMU Mali et de mieux gérer la
communication locale tout en mettant en avant les valeurs de notre institution.
L’agence de N’Tabacoro va permettre une meilleure coordination des équipes de
vente et du marketing sur le terrain pour une meilleure fidélisation des
parieurs.
Direction du marketing et de la communication de Pmu Mali
Rédaction Lessor
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.
