Les habitants de ce quartier achetaient un bidon d’eau de 20 litres à 100 Fcfa
Il s’agit des 374è, 375è et 376è forages dans la cour de la
mosquée de Niamakoro, mais aussi de celle de l’Association de santé
communautaire de Faladiè (Asacofa), toutes les deux en Commune VI, et à
Sangarébougou Marseille en Commune I du District de Bamako.
Aguibou
Dembélé a donné l’assurance que les œuvres sociales du président de la
Transition vont s’intensifier, se diversifier et cela, sur toute l’étendue du
territoire national. Il a demandé aux bénéficiaires de prendre soin de ces
joyaux, car la demande d’eau potable est forte et cruciale au Mali. Zan Mariko,
un fidèle de l’ancienne mosquée de Niamakoro, a expliqué que l’eau, c’est la
vie. Pour lui, avoir ce forage est une bénédiction car avant, ils étaient
obligés de puiser l’eau dans les puits traditionnels.
Badra Alou Sanogo, trésorier de l’Asacofa, a indiqué que ce forage qu’ils considèrent comme une source d’indépendance va contribuer à alléger leurs factures d’eau. Pour sa part, Mme Traoré Mafounè Tangara, résidente à Sangarébougou Marseille, expliquera que ce forage vient de les décharger d’un grand poids car les populations de leur quartier achetaient un bidon d’eau de 20 litres à 100 Fcfa.
Jessica K. DEMBELE
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.