
Ce programme s’intéressera à une première cohorte de 200 jeunes filles et garçons, sélectionnés à travers tout le pays
La cérémonie s’est déroulée au Palais des pionniers à Diagnéguéla. C’était en présence de son collègue de la Refondation de l’état, chargé des Relations avec les institutions, Ibrahim Ikassa Maïga, et de la ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargée des Réformes politiques et institutionnelles, Mme Fatoumata Sékou Dicko, et d’un beau parterre d’invités.
Ce programme s’intéressera au
total à une première cohorte de 200 jeunes filles et garçons, sélectionnés à
travers tout le pays. Ceux-ci recevront une formation sur la citoyenneté.
Il s’agit d’un programme initié à
l’endroit des jeunes du pays et qui vise à leur inculquer des valeurs, mais
aussi à développer chez eux l’esprit patriotique. Cela pour en faire des
bâtisseurs, des défenseurs de la nation, des citoyens engagés, dévoués et toujours
prêts à répondre présents à l’appel de la nation. Mais aussi à contribuer
activement à la construction et à la défense du pays. Selon le ministre chargé de la
Jeunesse et des Sports, «À l’école de la citoyenneté» est un programme de
formation et d’éducation citoyenne. «Ce programme représente une sorte
d’information sur le patriotisme et de l’engagement citoyen, insufflés par le
président de la Transition, le colonel Assimi Goïta.
Fruit d’une réflexion approfondie
et d’une collaboration étroite avec des experts en éducation civique,
constitués en comité consultatif permanent, le programme vise à inculquer aux
jeunes générations les valeurs et les principes fondamentaux qui guident la vie
de notre société», a déclaré le ministre Fomba. Et de préciser que ce programme
comprend trois cycles : un premier cycle basé sur l’initiation aux notions et
concepts de citoyenneté et de civisme, un deuxième cycle axé sur les études de
cas à travers nos us et coutumes, nos traditions, les sociétés d’initiation et
d’éducation à la vie sociale, et un troisième cycle réservé aux auditeurs ayant
accompli les deux premiers cycles qui seront engagés comme formateurs, pairs
éducateurs, relais médiateurs de la paix, de la concorde et de la cohésion
sociale.
Enfin, le ministre Fomba dira ceci : «Nous visons à fournir à nos
jeunes les outils nécessaires pour devenir des citoyens responsables,
respectueux de leur patrimoine culturel et soucieux de leur environnement. En
cultivant un sentiment d’appartenance et de fierté pour leur pays, nous
espérons forger une société plus juste, plus unie et plus prospère pour tous».
Le programme s’étale sur deux semaines, c’est-à-dire qu’il sera exécuté du 25 mai au 8 juin prochain.
Seibou Sambri KAMISSOKO
Si les explications entre l’Usfas et l’AS Police ne constituent pas forcément le sommet du basket-ball malien, force est d’admettre qu’elles donnent toujours lieu à de belles empoignades et passionnent les supporters des deux camps..
Initiée par le département en charge de la Jeunesse et des Sports, la rencontre vise à rassembler toutes les voix du monde sportif. Mais aussi mettre en place un projet qui répond aux attentes des générations futures.
Le match au sommet de la 6è et avant dernière journée de la phase aller du championnat entre les équipes féminines du Djoliba et de l’AS Police a tenu toutes ses promesses..
Le match AS Police-Djoliba sera la tête d’affiche de la 6è journée du championnat national de basket-ball qui se dispute, aujourd’hui et demain. Le choc est prévu cet après-midi au Palais des sports Salamatou Maïga et mettra aux prises deux formations qui occupent, respectivement les 2è e.
«Mieux vaut tard que jamais» dit l’adage. C’est finalement samedi dernier que la Fédération malienne de tennis de table a organisé l’édition 2024 du championnat national..
Le leader du classement a dû batailler jusqu’à la dernière minute pour venir à bout des promus du Centre Mamoutou Kané, finalement défaits 53-47, samedi au Palais des sports Salamatou Maïga. Pas de problème, en revanche pour le Stade malien qui a fait parler la poudre devant l’Usfas étr.