
L'officier de 41 ans, est diplômé de l'Ecole militaire de Paris (Ecole de guerre) en 2017, titulaire d’un master 2 en sciences criminelles du conservatoire national des arts et métiers (CNAM) de Paris et d’une certification d’expert de la défense en management, commandement et stratégie. Il a été promu le 16 décembre dernier, juste après l'attaque contre un détachement de gendarmerie à Inata (le dimanche 14 novembre ndlr), commandant de la troisième région militaire du pays, qui couvre notamment Ouagadougou. Il avait auparavant commandé le Groupe d’action rapide et de sécurisation du Nord, à Ouahigouya, selon différents médias. Il serait entouré de soldats des forces spéciales, les unités Cobra. L’homme n’est clairement pas un militaire de salon. Il a servi au sein du Régiment de sécurité présidentielle, la garde prétorienne aujourd'hui dissoute de Blaise Compaoré, l'ancien homme fort du pays renversé en 2015. Depuis décembre dernier, il était le commandant de la troisième région militaire nommé par le président Roch Marc Christian Kaboré. Comme le destin en a décidé autrement, Paul-Henri Sandaogo Damiba est aujourd’hui, à la tête du coup d'État perpétré ce 24 janvier, contre le régime Kaboré. Il faut noter qu’en outre de son expérience de terrain, Paul-Henri Sandaogo Damiba a tiré un ouvrage publié en juin 2021, intitulé : « Armées ouest-africaines et terrorisme, réponses incertaines ? ».
Dans un communiqué publié mardi dernier, l’État-major général des Armées a porté à la connaissance de l’opinion les actions menées dans la lutte contre le terrorisme, par les Forces armées maliennes (FAMa)..
Mossa AG Attaher (C) lors de la cérémonie de présentation du maillot des Aigles.
Ce forage a été réalisé à la demande du défunt chef de village.
Le ministre Lamine Seydou Traoré constate la fonctionnalité des installations dans une concession.
Dans une interview accordée hier soir à la télévision nationale, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale a expliqué en profondeur la décision du gouvernement de mettre fin aux accords de défense avec la France et ses partenaires européens. Toutefois, il ras.
Les partenaires ont assuré que le dialogue n’a pas été interrompu avec les autorités.